Delvau, 1866 : v. réfl. Boin ; un canon de vin ou un petit verre d’eau-de-vie.
Rigaud, 1881 : Se livrer, au piano, à une débauche d’arpèges.
Les joues enluminées, Ségurola, au piano, déchaînait une tempête de gammes vertigineuses. Aristide lui cria : Dis donc, auras-tu bientôt fini de te gargariser ?
(Hennique, La Dévouée.)
Rigaud, 1881 : En terme de théâtre, c’est, pour un artiste dramatique, faire ronfler les R ; pour un artiste lyrique, c’est faire rouler les notes. Le mot est du chanteur Martin.
Rigaud, 1881 : Boire la goutte.
France, 1907 : Boire. « Se gargariser le sifflet, ou le rossignolet. »